Entente sur la gouvernance crie et Constitution crie

Opinion et points de vue concernant l’Entente sur la gouvernance crie et la Constitution crie

L’Entente sur la gouvernance crie et la Constitution crie renforceront l’autonomie crie sur les terres de catégorie IA dans le contexte de la Convention de la Baie James et du Nord québécois en conférant plus d’autonomie et de souplesse.

Opinion : l’accord avec le Canada sur la gouvernance crie est une réconciliation dans l’action

Par le Grand Chef Matthew Coon Come, publiée dans The Globe and Mail le 20 juillet 2017

Le mardi 18 juillet, j’ai signé l’Entente sur la gouvernance de la Nation Crie avec la ministre des Affaires autochtones et du Nord Carolyn Bennett. J’ai déclaré à cette occasion que cette entente demeure fidèle à la vision des Cris enchâssée dans notre traité, la Convention de la Baie James et du Nord Québécois, signé avec le Canada et le Québec en 1975.

Quelle était cette vision?

Elle en a toujours été une d’autonomie gouvernementale et d’autodétermination. Les Cris ont toujours vu notre traité comme une émancipation de la Loi sur les Indiens. Mais, plus encore, nous avons vu le traité comme un moyen de récupérer l’autonomie gouvernementale dans Eeyou Istchee.

Lisez l’article complet dans The Globe and Mail (article en anglais)

Allocution de Philip Awashish sur l’Entente sur la gouvernance et la Constitution crie

Philip Awashish, principal négociateur cri pour la Nation Crie d’Eeyou Istchee lors des négociations en vue de la signature de la Convention de la Baie James et du Nord québécois de 1975, partage ses vues sur la gouvernance crie et la constitution proposées dans le contexte de la reconnaissance et de la protection des droits des Cris. M. Awashish était présent lors de la consultation de Mistissini le 1er février, où il a prononcé cette allocution.

Lisez son mémoire ici (en anglais seulement)